A la veille d’Halloween, faisons un tour dans la famille des citrouilles, mais avec cette variété particulièrement « goûtue », le potimarron ! Son nom n’est pas usurpé, car lorsqu’elle est bien préparée sa chair à la saveur de la châtaigne 🙂
Un abricot avec sa cousine, la nectarine ..c’est pour la rime ! A moins qu’il ne s’agisse d’un brugnon. Quelle est la différence entre les deux me direz vous ? Le brugnon a la chair attachée au noyau, alors que celle de la nectarine se détache facilement.
Après « Garde-manger » et « Garde-manger 2« , ceci est la suite de ces articles consacrés à la guêpe maçonne. Voici le contenu d’un ancien nid, dans lequel l’œuf n’a pas éclos ou bien la larve est morte très tôt. Ces araignées (il y en avait 18) sont un peu comme des momies exhumées de leur sarcophage. Pour la première photo j’ai eu recours à la technique du focus-stacking. Cela consiste à prendre une série de photos en changeant la zone de mise au point pour les assembler ensuite et obtenir une profondeur de champ impossible à avoir avec une seule photo en macro… à suivre
Le panier de la ménagère, 18 araignées séchées dans un nid de guêpe maçonne (pélopée) où la larve est morte. Photo issue de l’assemblage de 18 vues (focus-stacking)Une des 18 momies
Premier épisode de quelques photos consacrées aux guêpes maçonnes. Elles sont surnommées ainsi car elles confectionnent des urnes en terre dans lesquelles elles enferment leur œuf avec une réserve de nourriture (en l’occurrence des araignées). Petit détail pour donner la chair de poule, les proies sont paralysées et non pas mortes, afin de ne pas se décomposer. Le processus normal pour arriver à la naissance de la guêpe est de manger tout ce qu’il y a dans son sarcophage de terre, puis de se transformer en adulte avant de sortir en découpant le couvercle à l’aide de ses mandibules. Mais ce n’est pas toujours gagné comme nous le verrons dans un prochain article.. mais pour l’instant quelques photos 🙂 . J’ai identifié cette guêpe comme étant une Sceliphron caementarium… à suivre
La propriétaire sur son HLM. Les pattes qu’on aperçoit dans le trou de la cellule du bas sont celles des dernières araignées qu’elle vient de capturer et de déposer dans leur sarcophage, le casse-croûte de la future larve.Une autre construction en terre, entièrement bâtie à la force des mandibules.
A consommer avec modération, verrez vous le verre à moitié plein ou le verre à moitié vide ? Je continue ces portraits en cuisine avec une vue académique d’un verre de vin..
Des graines de badiane, ou anis étoilé. Elle entre dans la composition du mélange 5 épices (avec cannelle, clou de girofle, graine de fenouil et poivre de Sichuan), mais on peut aussi l’utiliser seule, réduite en poudre ou bien entière, infusée dans un plat, voire dans la confiture (pas mal dans la confiture de melon, à condition de ne pas trop charger 🙂 )